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A la recherche du bonheur

18 octobre 2015

Malheureuse

Le bonheur ou la joie ne dure pas...

Je me sentais bien, il rentre, je découvre ce message, qu'il a pris soin d'effacer ''just telle her i enjoyed a lot meeting her''. Oui il a bien dit à une fille à qui il n'a parlé que 1h et encore c'était sa pote moche qui parlait le plus, il a bien été lui dire ''i enjoyed a lot meeting you''. Forcément quand on est le croisement entre Alyssa Milano et Eva longoria on fait un effet boeuf, même si on aligne pas 3 mots, ce qui n'est pas mon cas...

Mais c'était de l'enthousiasme c'est tout...Et moi je suis quoi?...

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12 octobre 2015

Me revoilà plongée dans le thème de mon addiction au sucre

Je suis convaincue de détenir une clé très sympathique pour mon mieux-être autour de l'arrêt du sucre.Mais je suis pour l'heure toujours accro(ou j'étais? qui sait quand est ce que ma nouvelle vie commence vraiment?).

Ce qui est certains pour avoir tenté l'expérience radicale pendant un mois et demi, c'est qu'il s'agit d'une addiction véritable. Et en même temps je commence à me remémorrer que j'ai craqué aussi car cela me mettait très en colère (encore une fois contre moi), car je me disais ''punaise, devoir arrêter radicalement! Alors que si je n'avais jamais abusé je n'en serais pas là!''

Aujourd'hui je sais que j'ai mes raisons d'avoir eu ce comportement addictif, je sais qu'il m'apporte une douceur au quotidien, mais non empreinte de culpabilité.

Je vais tâcher, pour ne pas oublier, de lister les raisons pour lesquelles je souhaite arrêter de consommer du sucre:

- être en forme, retrouver de la vitalité, de l'énergie (enfin!)

- avoir de bien meilleures défenses immunitaires, pour arrêter de tomber malade tous les mois, mois et demi en période de froid

- préserver mon capital santé, pour éviter les maladies telles que le diabète qui me pends au nez si ça continue, les avc, les maladies cardio-vasculaires, et les cancers. LE SUCRE INFLAMME LES TISSUS!

- être fière de moi! Changer mes habitudes, prendre soin de moi, le faire pour moi!

-mine de rien je dépense un paquet de fric dans le sucre!

-manger mieux! forcément je vais manger des fruits, plus de légumes et de noix! Donc encore une meilleure forme

- m'affiner retrouver ma silhouette, et peut être même un plus belle qu'avant!

- dire adieu à la cellulite (le sucre est le gros responsable)

-pouvoir mieux me concentrer, apprendre, retenir

-être plus en paix, plus sereine

-vivre longtemps, connaitre mes petits enfants, pouvoir voir ma famille épanoui

- montrer l'exemple d'une vie saine à mes enfants

-améliorer ma santé intestinale, buccale

-améliorer mon grain de peau

-pouvoir apprendre avec plus d'aisance

-voir mieux, et éviter la cataracte quand je serais une petite mamie!

-savoir que je peux le faire, que je peux changer mes habitudes

-ne pas oublier que c'est pour prendre soin de moi

Voilà je ne sais pas si j'ai fait le tour. Plusieurs idées se recoupent. J'ai tellement de raisons d'arrêter!

Il y a tout plein d'info en terme de documentaires, même sur youtube, et de livre à notre portée. Je viens de m'en visionner 3 nouveaux, alors que j'avais déjà pas mal fait le tour il y a un an. Je lis ''zéro surce", et j'ai en attente ''ces glucides qui menacent notre cerveau'' à découvrir. 

Tout un programme!

 

 

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1 octobre 2015

Dépression

Je tombe dans les abîmes.

Je ne supporte plus rien. Ni la joie de vivre de de mes enfants, ni mes chats en recherche de genoux pour se blottir. Rien. Rien,rien, rien.

Je suis à deux doigts de devenir maltraitante, je me suis tellement retenue de frapper mes enfants. n1 s'est quand même pris 2 fessées...

N2 pleure dans sa chambre, et c'est avec horreur que je m'apprête à remonter pour le calmer. Je n'ai pas envie de donner encore une demi-seconde de mon temps, mais je n'en ai pas le choix...

17 septembre 2015

16/09/2015

Mais dites-moi? est ce que les hommes pensent tous et définitvment qu'ils ne sont jamais au grand jamais responsables de rien? est ce que la lâcheté leur est inculqué depuis la naissance??Sont-ils vraiment tous ainsi? 

Pourquoi quand on les entends parler de leur ex, a t'on toujours l'impression qu'il n'ont eu que des folles ou des dérangées? 

Apparement je suis aussi dérangée que toutes les autres. Puisque ''je cherche les problèmes". Je vomis ces propo, je les hais et je hais celui qui les prononce et qui les pense, et qui se permet de faire semblant d'aimer. Je cherche les problèmes, ou bien il n'affronte pas ceux dans lequel il a quelque chose a voir? 

Ce que je ressens va au delà de la colère, au-delà du discible. Je ne sais plus dire ni exprimer cette rage qui ne veut être entendue. Je le hais. Oui je le hais. ce soir seule sur mon canapé, lui et sa fuite,lui et son dédain, lui et son manque de responsabilité. Je ne tiendrais pas ainsi des années. Si je dois souffrir encore plus que mes souffrances personnelles, si quelqu'n ramène tout à ''mes problèmes'' même quand ils sont aussi ses problèmes pour s'en dédouaner, je préfères être seule et vivre une vraie sollitude choisie.

Pas ça. Ca c'est de la merde en barre, ça c'est de la souffrance manipulatrice. Dans sa tête il pense que c'est parce que je souffre que je lui crée des problèmes, il n' a jamais au grand jamais AUCUNE responsabilité. Je me tais je vais devenir vulgaire si je continue.

Mais je comprends ces histoires d'ex qui sont soit-disant folle pour eux. Si l'on venait à se séparer c'est très certainement cette soupe nauséabonde qu'il servirait en amuse-bouche à la suivante

26 août 2015

26 août 2015

Bon ça y est je sature de la maison, du ménage, des enfants!

Je recommence à leur dire des horreurs, et j'ai donné la 2eme et 3eme fessée de sa vie à mini2, car il a trouvé ça drôle de mettre de la litière (sale) de chat sur la table basse et le tapis.

Cette maison, son bordel, me sort par les trous de nez. Les conneries, les une après les autres des enfants, idem.

Je tombe malade j'ai mal au crâne, je me fais violence pour avancer au moins dans la propreté de cette maison. je sature déjà complètement donc je ne veux rien de plus...

Une chose est sûre c'est qu'une vie de cette façon ne me convient pas, mais je continue. J'ai un peu l'impression d'être dans une impasse. Ce sont mes choix de vie pourtant...

Personne ne m'a obligé à rester à la maison, personne ne m'a obligé à faire des enfants, personne ne m'a obligé à prendre des chats qui vont tout salir...

La chambre de mini2, après les 3 mois que les chatons viennent d'y passer est simplement immonde, mais vraiment, des oeufs et des larves de puces partour, de la pisse (qui vient d'être nettoyé par H., qui m'aide pour le ménage) par terre, dans les boites des jeux des enfants.

Les tiroirs avec les vêtements, et bien ils ont appris à les ouvrir pour pouvoir dormir dedans... plein de merde de puces partout et d'oeuf, c'est juste immonde.

Ca y est ça pleure! car je ne donne pas des feutre à mini2 pour écrire sur un tableau, des feutres pour des feuilles et pas des feutres weleda, bien-sûre.

Je ne les supporte plus!

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24 août 2015

le retour des vacances d'été 2015

             Voilà de retour de 3 semaines au portugal, mon pays d'origine. Et cette claque dans  ma gueule de mon incapacité à être heureuse au quotidien, cette difficulté de vivre depuis des années...Celle là même avec laquelle je compose alors que je n'en peux plus!

Cette difficulté qu'il en découle à m'occuper de façon saine de mes enfants, cette difficulté à vivre dans ma maison, noyée dans un bazar immense à l'effigie du fouilli de pensées négatives qui traversent ma tête au quotidien.

J'aimerai tellement me sentir heureuse! C'est un gros sentiment de solitude et peut-être d'incapacité, qui me pousse quelque part à ouvrir un blog comme à l'époque de mon adolescence, et de mes journaux intimes que je gribouillais déjà de tant de tristesse.

Je crois que je suis mon pire ennemi, la personne avec laquelle je ne devrais pas vivre, mais c'est bien moi, et je n'ai pas le choix. Je n'ai besoin d'aucun bourreau pour me sentir persécutée et vivre la douleur. Je me persécute moi-même à vivre à côté de mes pompes.

J'espère, et heureusement il me reste cela: l'espoir, d'un jour arrêter de vivre à côté de ma vie, qui défile de plus en plus vite. Bientôt une nouvelle année passée, en quoi ai-je évolué, qu'ai-je apporté, comment je me sens? Quel sentiment sinon la tristesse, encore et toujours?

J'ai vécu la nostalgie du passé dans mon petit pays. De moments heureux de mon enfance qui n'auront jamais plus lieu, ma grand-mère me manque, la plage amusante de mon enfance me manque, la balançoire que mon grand-père me fabriquait, le raisin que j'allais cueillir après le repas dans le champs derrière, les grandes tablées bruyantes avec mon tonton ma tata et ma cousine! L'amour dans les yeux de ma grand-mère, sa coqueterie le dimanche, parfum et laque généreusement aspergés.

Et la nostalgie des belles années passées avec l'Homme, celle où l'insouciance était encore de mise, celle où je n'avais pas encore découvert son addiction, celle où les vacances rimaient avec sensualité et imagination, du moins de mon point de vue. Qu'existe-il encore de vibrant ?...

Comment continuer à vivre avec cette idée qu'il ne me désire pas (ne m'aime pas?), comment vivre à l'idée d'aussi peu de rapprochement quand je sais qu'il s'est donné tant de mal à conserver sa dose journalière minimum de porno, quitte à en regarder au travail pour être tranquille?

J'aurais aimé que ça n'ait rien enlevé à ma valeur, mais ce n'est pas comme ça que j'arrive à le vivre. De là, depuis février 2011, j'ai perdu pieds, je suis tombée. Pas que j'étais vraiment heureuse avant, mais ça a été le truc de trop, le coup de grâce dont je n'ai toujours pas réussi à me relever. Je me demande si j'y arriverais, s'il faille que je balaye toute cette histoire et que j'en recrée une nouvelle autre, ailleurs. Ou est ce que je répéterais ailleurs ce mal-être qui peut se résumer à ''je ne suis pas aimable, pas digne d'amour, pas digne d'être désirée''?

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